L'addiction au sexe est une maladie mentale. C'est la réponse claire et nette d'un psychiatre interrogé sur le sujet. Pour les concernés, c'est juste de considérer le sexe comme un besoin fondamental et physiologique comme manger, dormir, déféquer. Ainsi, les avis sont partagés en ce qui concerne cette addiction sexuelle.
Le sexe comme hobbies
Pour les amateurs, le sexe et le plus noble des hobbies et peu de personnes contrediront cette réalité. Ceci est prouvé par la libéralisation sexuelle, de plus en plus acceptée, même dans les institutions les plus puritaines comme les écoles et les églises. Un besoin fondamental comme tant d'autres, indispensable pour la santé et la bonne circulation sanguine. Passe-temps par excellence, même si le sexe est omniprésent chez certaines personnes qui ont une envie plus poussée que les autres comme les nymphomanes. C'est aussi un moyen d'exprimer son amour envers l'être aimé, et qu'on peut bien partager ou à échanger avec celui des autres, dans le but de trouver d'autres sensations fortes et de nouvelles expériences, le leitmotiv des libertins et des échangistes.
Le sex addict : Danger pour soi et les autres !
Dès fois, l'addiction au sexe mène à des comportements violents, car les rapports sexuels ordinaires ne suffisent plus. La surestimation de l'utilité des vidéos pornos ne fait que rajouter à ces faits, ce qui cause une certaine déstabilisation psychologique des personnes concernées. Bref comme toute bonne chose, le sexe sans modération ne fait que nuire malgré tous les plaisirs qu'il procure. Alors, à consommer avec modération?
